Pour fêter les trente ans de Radio Nova, Nicolas nous gâte avec quelques émissions exceptionnelles entre Noël et le jour de l'an, de 20h à 21h. Voici le tracklisting de l'émission du vendredi 30 décembre :
John Carpenter / Escape From New York (New York 1997) - Film de John Carpenter, 1981
Ennio Morricone / "Trilogie des animaux" : L'oiseau au plumage de cristal (1970), Le Chat à neuf queues (1971), Quatre mouches de velours gris (1971)
Goblins / Profondo Rosso - Film de Dario Argento, 1975
Ennio Morricone / Le Syndrome de Stendhal - Film de Dario Argento, 1996
Un grand merci à Nicolas pour ces belles émissions qui rappellent de bons souvenirs aux auditeurs fidèles de NFSC ! A bientôt !
vendredi, décembre 30, 2011
jeudi, décembre 29, 2011
Reprise de NFSC (4)
Pour fêter la fin de l'année, Nicolas nous gâte avec quelques émissions exceptionnelles entre Noël et le jour de l'an, de 20h à 21h. Voici le tracklisting de l'émission du jeudi 29 décembre :
Manfred Hubler - Siegfried Schwab / Vampiros Lesbos - Film de Jess Franco, 1971
Lubos Fiser / Valerie and Her Week of Wonders - Film de Jaromil Jires, 1970
Miklós Rózsa / Providence - Film d'Alain Resnais, 1977
R.D. Burman / Shalimar - Film de Krishna Shah, 1978
R.D. Burman / Sholay - Film de Ramesh Sippy, 1975
Masaru Satô / Goyôkin - Film de Hideo Gosha, 1969
Fred Avril - Xavier Jamaux / Sparrow - Film de Johnnie To, 2008
Manfred Hubler - Siegfried Schwab / Vampiros Lesbos - Film de Jess Franco, 1971
Lubos Fiser / Valerie and Her Week of Wonders - Film de Jaromil Jires, 1970
Miklós Rózsa / Providence - Film d'Alain Resnais, 1977
R.D. Burman / Shalimar - Film de Krishna Shah, 1978
R.D. Burman / Sholay - Film de Ramesh Sippy, 1975
Masaru Satô / Goyôkin - Film de Hideo Gosha, 1969
Fred Avril - Xavier Jamaux / Sparrow - Film de Johnnie To, 2008
Reprise de NFSC (1)
Pour fêter la fin de l'année, Nicolas nous gâte avec quelques émissions exceptionnelles entre Noël et le jour de l'an, de 20h à 21h. Voici le tracklisting de la première émission du lundi 26 décembre :
Henry Mancini / Wait Until Dark (Seule dans la nuit) - Film de Terence Young, 1967
Jerry Goldsmith / The Detective (Le Détective) - Film de Gordon Douglas, 1968
Michael Small / Klute - Film de Alan J. Pakula, 1971
Michael Small / The Driver - Film de Walter Hill, 1978
David Shire / The Taking of Pelham One Two Three - Film de Joseph Sargent, 1974
Henry Mancini / Wait Until Dark (Seule dans la nuit) - Film de Terence Young, 1967
Jerry Goldsmith / The Detective (Le Détective) - Film de Gordon Douglas, 1968
Michael Small / Klute - Film de Alan J. Pakula, 1971
Michael Small / The Driver - Film de Walter Hill, 1978
David Shire / The Taking of Pelham One Two Three - Film de Joseph Sargent, 1974
mercredi, décembre 28, 2011
Reprise de NFSC (3)
Pour fêter la fin de l'année, Nicolas nous gâte avec quelques émissions exceptionnelles entre Noël et le jour de l'an, de 20h à 21h. Voici le tracklisting de la troisième émission du mercredi 27 décembre :
Michel Magne / De la part des copains (Cold Sweat) - Film de Terence Young, 1970
John Barry / The Tamarind Seed (Top Secret) - Film de Blake Edwards, 1974
Laurie Johnson / The Avengers
Laurie Johnson / The New Avengers
Ennio Morricone / Città violenta (1970), Un Uomo da rispettare (1972)
Stanley Myers / Sitting Target (La Cible hurlante) - Film de Douglas Hickox, 1972
Michel Magne / De la part des copains (Cold Sweat) - Film de Terence Young, 1970
John Barry / The Tamarind Seed (Top Secret) - Film de Blake Edwards, 1974
Laurie Johnson / The Avengers
Laurie Johnson / The New Avengers
Ennio Morricone / Città violenta (1970), Un Uomo da rispettare (1972)
Stanley Myers / Sitting Target (La Cible hurlante) - Film de Douglas Hickox, 1972
Reprise de NFSC (2)
Pour fêter la fin de l'année, Nicolas nous gâte avec quelques émissions exceptionnelles entre Noël et le jour de l'an, de 20h à 21h. Voici le tracklisting de la deuxième émission du mardi 27 décembre :
The Split / Quincy Jones (Le crime, c'est notre business) - Film de Gordon Flemyng, 1968
Gordon Parks / Shaft's Big Score (Les Nouveaux exploits de Shaft) - 1972
Roy Budd / The Black Windmill (Contre une poignée de diamants) - 1974
Lalo Schifrin / Magnum Force - 1973
A demain soir !
The Split / Quincy Jones (Le crime, c'est notre business) - Film de Gordon Flemyng, 1968
Gordon Parks / Shaft's Big Score (Les Nouveaux exploits de Shaft) - 1972
Roy Budd / The Black Windmill (Contre une poignée de diamants) - 1974
Lalo Schifrin / Magnum Force - 1973
A demain soir !
vendredi, septembre 23, 2011
Le plus beau western du monde ?
S'il y a chez les cinéphiles endurcis une certaine tendance à cracher dans la soupe (cf. les réactions aux articles de Serge Toubiana sur son blog), on ne peut que rendre justice à cette belle institution qu'est la Cinémathèque Française quand elle remplit son rôle de préservation du patrimoine cinématographique mondial. Un bel exemple en a été donné mercredi 21 septembre avec la projection de Wild Rovers (Deux hommes dans l'Ouest), unique western de Blake Edwards datant de 1971, projeté en version intégrale dans une copie tirée spécialement pour l'occasion.
Quelle meilleure façon pouvait-on trouver pour rendre hommage à ce grand réalisateur, décédé fin 2010, que de projeter son film dans la version la plus proche possible de celle qu'il souhaitait ? Avant la séance, Jean-François Rauger nous apprenait que la MGM avait à l'époque charcuté Wild Rovers, le trouvant trop noir. Le montage était donc passé de 136 à 106 minutes, perdant au passage 30 minutes ! La copie 35 mm qui nous était proposée était donc certainement la seule existante au monde.
Alors, qu'est-ce que ça donne quand un génie de la comédie se frotte au western ? D'abord, il faut remettre le film dans son contexte. En 1971, Blake Edwards sort du fiasco Darling Lili, film d'espionnage à grand spectacle avec sa femme Julie Andrews, échec énorme au box-office. Il se lance dans ce western tardif dont il écrit le scénario : la fuite de deux amis cowboys qui ont cambriolé une banque et tentent d'en profiter avant de mourir. Edwards ne s'interdit rien et brosse un portrait peu flatteur d'une Amérique en pleine construction. Mais il le fait avec beaucoup d'humanité et d'amour pour ses personnages.
Hanté par la mort
C'est une peu comme si Edwards avait tenté le western ultime : tout y est beau, les décors, la lumière, les paysages, les bêtes, les hommes aussi. Mais tout est hanté par la fin, la mort. Des le départ, Ryan O'Neal demande à William Holden s'il a peur de la mort. Et il répond que non. Les deux savent qu'elle est là, qu'elle les attend au détour de chaque chemin et que jamais ils ne pourront accomplir leur rêves s'ils ne forcent pas le destin. Profiter de la vie semble être la seule solution.
Le film est parsemé de longues discussions entre deux hommes qui cherchent des réponses à leurs angoisses. Des digressions qui ont dû effrayer les pontes de la MGM, lesquels ont sorti leurs ciseaux. On dit qu'Edwards a plongé dans la dépression après ce coup dur, et qu'il en a gardé une haine certaine pour le milieu hollywoodien, avec lequel il règlera ses comptes dans des films ultérieurs (notamment S.O.B., 1981).
Si Wild Rovers est un film bouleversant, c'est parce qu'il traite son sujet de front, sans mentir. Rarement aura-t-on vu aussi bien traité l'amitié entre deux hommes. Rarement aura-t-on vu l'Ouest américain dans toute sa splendeur, sa violence, ou peut-être chez Peckinpah. Si Wild Rovers est un grand film, c'est aussi grâce à la magnifique partition de Jerry Goldsmith, dont le thème épique accompagne l'aventure des deux héros jusqu'au dénouement tragique.
Parsemée de plages expérimentales, la bande-originale fait partie des réussites de son auteur et mérite sa place dans la discothèque de tout fan de musique de film.
Alors, ne ratez pas la dernière projection à la CF (lundi 10 octobre à 20h), et si vous n'êtes pas sur Paris, vous pouvez toujours vous rattraper avec le DVD disponible en import US.
dimanche, mai 08, 2011
TCM Classic Film Festival : le retour du refoulé
Los Angeles, fin avril 2011. L'impossible a eu lieu et cela, pour la deuxième année consécutive. Des vieux films, parfois oubliés, projetés sur écrans géants dans des palaces du cinéma, avec des copies restaurées, et en présence d'acteurs, réalisateurs, collaborateurs... On a beau se pincer, non, c'est bien vrai. Dieu sait pourtant que ce n'est pas trop la tendance du moment, surtout aux Etats-Unis, pays où les chaînes de produits culturels ferment les unes après les autres (le libraire Borders ferme plus d'un tiers de ses magasins). Entre une industrie cinématographique qui cherche à tout prix un nouveau modèle économique en misant sur la VOD (à tel point qu'un groupement de cinéastes s'est constitué pour adresser un courrier de protestation aux studios), et un public jeune qui délaisse le cinéma en salles pour s'adonner au téléchargement à gogo, quelle place reste-t-il pour l'héritage cinématographique universel ?
Le TCM Classic Film Festival, organisé par la chaîne du câble TCM, apporte une réponse éclatante, en mettant dans le feu des projecteurs le cinéma d'hier, sans effets spéciaux, ni 3D, en couleurs ou en N&B, parlant ou muet, mais toujours fabuleusement passionnant et actuel. Si la première édition du festival s'était penchée sur la naissance d'Hollywood, le thème retenu cette année était la comédie musicale et la musique de film. Belle occasion de rendre hommage à la musique fabuleuse de George et Ira Gershwin, avec la projection en soirée d'ouverture du chef d’œuvre de Vincente Minnelli, An American in Paris (1951).
En présence de sa fille Dorothy Herrmann, un autre hommage a été rendu au plus aventureux des compositeurs de musique de film hollywoodien, Bernard Herrmann, avec les projections de son premier film, Citizen Kane (1941), de son dernier Taxi Driver (1976) et de quelques autres, dont celui que le maître en personne préférait parmi tous : The Ghost and Mrs. Muir (1947).
Crédit photo : Jordan Strauss – © 2011 WireImage
Parmi les vétérans invités, deux géants du cinéma, toujours actifs malgré leur grand âge. Le premier, Kirk Douglas, 94 ans au compteur, fait preuve d'une vitalité à toute épreuve, malgré l'attaque dont il a été victime et qui l'a laissé avec une perte d'élocution dont il a su prendre le dessus ("Pour un gars qui a perdu la voix, je trouve que je parle beaucoup !", dira-t-il lors de la présentation du film de Stanley Kubrick Spartacus (1960)). Une carrière impressionnante et beaucoup d'humour pour ce fils de chiffonnier qui en a profité pour présenter un extrait de son récent one-man show où il discute avec lui-même trente ans plus tôt. Quant à savoir quel film il préfère dans sa carrière, il a cité Lonely Are The Brave, un western de 1962 avec Gena Rowlands, sorti en France sous le titre Seuls sont les indomptés.
Crédit photo : TCM
Jeune homme de 78 ans toujours élégant, Peter O'Toole a gravé pour l'éternité ses empreintes dans le ciment du Grauman's Chinese Theatre le samedi 30 avril, alors que retentissait le thème inoubliable de Lawrence of Arabia (1962). Les organisateurs lui ayant donné l'occasion de choisir un de ses films, c'est Becket (1964) qui a eu ses faveurs, magnifique drame historique réalisé par Peter Glenville, dans lequel il donne la réplique à un autre monstre sacré, Richard Burton. Complètement méconnu en France, ce film situé au XIIe siècle en Angleterre conte les rapports conflictuels entre la monarchie et le clergé. Lorsque l'archevêque de Canterbury meurt, le roi Henri II pense adoucir la situation en nommant son ami Thomas Becket pour reprendre la charge cléricale. Mais ce dernier, fidèle compagnon du roi jusqu'alors, se sent soudain investi par toutes les tâches qui lui incombent. Une opposition féroce voit donc le jour entre les deux hommes. Un grand film nominé à l'époque pour 12 Oscars à redécouvrir d'urgence en DVD, en attendant mieux.
Le cinéma muet n'était pas oublié avec la projection de The Cameraman (1928), excellent film de Buster Keaton, projeté avec un orchestre live. Kevin Brownlow, cinéaste et historien du cinéma, récipiendaire d'un Oscar d'honneur cette année, est revenu lors d'une conférence sur son combat pour sauver le patrimoine du cinéma muet.
Enfin, dans une programmation de trois jours très dense, il était parfois difficile de faire un choix entre des séances qui se chevauchaient. Des hommages à des figures disparues dans l'année ont été donnés : Sidney Lumet a été célébré avec la projo de Network (1976), sa satire du milieu de la télévision, description étonnamment juste des dérives de "l'infotainment", mariage contre nature de l'information et du spectacle dans lequel nous sommes toujours englués plus de trente ans après.
Crédit photo : TCM
Les 1.100 spectateurs du Grauman's Chinese étaient debout pour applaudir Julie Andrews, venue présenter le joyau de son ex-mari décédé le 15 décembre 2010, Breakfast at Tiffany's (1961). A cette occasion, elle en a profité pour répondre à la question que chaque cinéphile s'est posé au moins une fois dans sa vie : comment est-ce que c'est de jouer sous la direction de l'homme avec qui on couche ? A quoi elle a répondu : "Un jour, je tournai une scène d'amour, il est venu me voir et il m'a chuchoté à l'oreille : chérie, je sais que tu peux faire mieux !". De nombreux extraits des films de Blake Edwards ont été projetés pour rendre hommage à ce grand cinéaste, initiative à laquelle la Cinémathèque Française pourrait faire écho lors de sa prochaine saison.
Crédit photo : TCM
Enfin, le festival s'est achevé dimanche soir par deux événements entre lesquels il fallait choisir : Fantasia (1940) et West Side Story (1961). N'étant pas un grand fan de Walt Disney, le film de Jerome Robbins et Robert Wise a eu ma préférence. D'autant que le revoir dans le plus vieux des palaces cinématographiques hollywoodien, le Grauman's Egyptian Theatre, dans une copie 70 mm, et avec une présentation qui réunissait George Chakiris (Bernardo), Walter Mirisch (producteur) et Marni Nixon (Maria), ne se refuse pas. Marni Nixon (photo ci-dessus) a passé une bonne partie de sa carrière dans l'ombre et il était largement temps que son travail soit reconnu. C'est en effet elle qui a doublé la voix de Nathalie Wood pour les chansons de West Side Story, mais aussi Audrey Hepburn dans My Fair Lady (1964) et Deborah Kerr dans The King And I (1956). Lors d'une conférence tenue plus tôt, elle avait raconté que les studios de l'époque exigeaient que cette pratique soit tenue secrète, au point de la menacer de ne plus bosser dans l'industrie si elle révélait le pot aux roses !
Bref, une très bonne édition, dont le succès était probant vu les files d'attente (le public était deux fois plus nombreux que l'année dernière). A tel point que le festival est déjà reconduit pour l'année prochaine. Rendez-vous à Hollywood en 2012 et encore merci à TCM d'entretenir la flamme !
Le TCM Classic Film Festival a eu lieu à Los Angeles du 28 avril au 1er mai 2011.
jeudi, mars 24, 2011
Le fantôme de Kubrick à la CF
Ouverture du cycle Kubrick en présence de Christiane Kubrick, Jan Harlan, Marisa Berenson et Ken Adam hier soir à la Cinémathèque Française.
Très belle projection en numérique de Barry Lyndon (sauf que pendant les dix premières secondes du générique, pas d'image).
En ouverture de la soirée, témoignage vidéo filmé pour l'occasion de Kirk Douglas sur SK, assez émouvant : il a surtout insisté sur le fait qu'ils se disputaient souvent, mais que Kubrick avait souvent raison et qu'il était très sûr de lui.
Finalement, 2001 ne sera pas projeté en 70 mm, ils n'ont pas trouvé de copie !! Par contre, ce sera le cas pour Spartacus. 2001 sera projeté en numérique.
Serge Toubiana a remercié tous les partenaires. Il a insisté sur la mission éducative de la CF. Chaque jour, des groupes de lycéens et étudiants seront conviés à visiter l'exposition.
Christiane Kubrick a dit que Stanley aurait été très excité à l'idée de visiter cette expo et qu'elle aurait aimé qu'il soit là.
L'exposition dure jusqu'à la fin juillet. Orange Mécanique ne sera projeté que début juin, après le passage du film au festival de Cannes. Il sortira également en salles.
Vive Kubrick !
mercredi, février 09, 2011
Emission spéciale en hommage à John Barry
Medley James Bond / Amicalement Vôtre
Duke Ellington / The Jazz Party (morceau : Tymperturbably Blue)
John Barry / From Russia With Love (Film de Terence Young, 1963)
John Barry / The Knack... And How To Get It (Film de Richard Lester, 1965)
John Barry / Deadfall (Film de Bryan Forbes, 1968) (Chanson : My Love Has Two Faces, Shirley Bassey)
John Barry / Petulia (Film de Richard Lester, 1968)
John Barry / Americans (Morceau : Downtown Walker, album de 1975, réédité chez Universal Music France en 2009)
John Barry / Boom (Film de Joseph Losey, 1968)
John Barry / Deadfall (Film de Bryan Forbes, 1968)
John Barry / Nightgames (Film de Roger Vadim, 1980)
John Barry / The Specialist (Film de Luis Llosa, 1994)
John Barry / On Her Majesty's Secret Service (Film de Peter R. Hunt, 1969)
John Barry / Diamonds are forever (Film de Guy Hamilton, 1971)
Un grand merci à Nicolas Saada et sa fidèle réalisatrice, Isabelle Gornet, pour cette belle émission. C'était l'occasion de faire revivre, pendant un peu plus d'une heure, l'esprit de NFSC. Dommage que ce soit à l'occasion de la disparition d'un grand compositeur, mais ne boudons pas notre plaisir !
Duke Ellington / The Jazz Party (morceau : Tymperturbably Blue)
John Barry / From Russia With Love (Film de Terence Young, 1963)
John Barry / The Knack... And How To Get It (Film de Richard Lester, 1965)
John Barry / Deadfall (Film de Bryan Forbes, 1968) (Chanson : My Love Has Two Faces, Shirley Bassey)
John Barry / Petulia (Film de Richard Lester, 1968)
John Barry / Americans (Morceau : Downtown Walker, album de 1975, réédité chez Universal Music France en 2009)
John Barry / Boom (Film de Joseph Losey, 1968)
John Barry / Deadfall (Film de Bryan Forbes, 1968)
John Barry / Nightgames (Film de Roger Vadim, 1980)
John Barry / The Specialist (Film de Luis Llosa, 1994)
John Barry / On Her Majesty's Secret Service (Film de Peter R. Hunt, 1969)
John Barry / Diamonds are forever (Film de Guy Hamilton, 1971)
Un grand merci à Nicolas Saada et sa fidèle réalisatrice, Isabelle Gornet, pour cette belle émission. C'était l'occasion de faire revivre, pendant un peu plus d'une heure, l'esprit de NFSC. Dommage que ce soit à l'occasion de la disparition d'un grand compositeur, mais ne boudons pas notre plaisir !
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